1. La période post-séparation : comment favoriser l’apaisement des relations entre des parents qui se séparent (sans prendre le risque que les juges aux affaires familiales ne pérénnisent systématiquement la situation transitoire)?
2. La période post-séparation : pas de temps de pause pour le parent gardien qui doit rester forte, prévenante, aimante, calme, dans une situation de séparation douloureuse et parfois violente.
3. Un DROIT de visite et d’hébergement pour les uns, un DEVOIR de présentation pour les autres. Cette asymétrie –lourde de conséquences au quotidien pour les mères gardiennes– se justifie-t-elle moralement?
4. Comment éviter que les JAF ne bâclent les audiences?
5. Quelles suggestions faire à l’ARIPA (Agence de Recouvrement des Impayés de Pensions Alimentaires, dépendant de la CAF) pour que ce qui devait être un soutien aux parents solos, créancier·es de pension alimentaire, ne soit plus un parcours du combattant contre-productif?
6. Fiscalité de la “pension alimentaire” (PA).
7. Que faire pour empêcher les services administratifs de renommer (illégalement) les femmes avec leurs noms d’épouse?
8. Quelles mesures pour dissuader les mauvais payeurs de pension alimentaire? Existe-t-il des dispositions légales qui permettent de poursuivre le débiteur en dommages et intérêts?
9. La “stabilité” d’une situation est-elle vraiment plus importante pour le bien-être d’un·e enfant que la paix dans son foyer? (les JAF semblent avoir tendance à pénaliser les parents gardiens qui voudraient déménager, au motif d’un intérêt de l’enfant qui tiendrait dans la “stabilité” (gel) de sa situation socio-scolaire).

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